« Pourquoi il stimule le ventricule, ce con ? » Ah ben, mon vieux, moi je n’en ai pas la moindre idée… C’est d’ailleurs un peu pour cette raison que j’abandonne la mécanique de mon cœur à un spécialiste patenté tel que le Docteur D. Alors si lui-même commence à se répandre en interrogations sans réponse, comment voulez-vous que je vive sereinement ?
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Stimulochronique, le retour ?
Longtemps je me suis stimulé de bonne heure et ceux d'entre vous qui connaissent mon petit laboratoire d'écriture depuis sa création en mars 2005 savent qu'il m'est arrivé à plusieurs reprises de pondre des textes très bavards vous narrant les relations très particulières et exclusives que j'entretiens avec mon pace maker ainsi qu'avec ce bon Docteur D., grand spécialiste de la chose électronique implantée subdermiquement et néanmoins savamment reliée à mes oreillettes et autres ventricules au moyen d'interminables branchements dont le contrôle régulier s'effectue aujourd'hui grâce à une technologie faisant appel aux outils informatiques de dernière génération.
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Images
J'ai plein de choses à vous raconter mais... tellement de trucs à faire en ce moment qu'il est parfois difficile d'opérer des choix. Une chronique du dernier Nancy Jazz Pulsations pour le magazine Citizen Jazz, un article à rédiger dans le cadre d'un projet collectif proposé par l'ami Z, du travail en retard (du vrai, hein, celui qu'on fait pour gagner des sous, même si je n'ai toujours pas réussi à faire doubler mon salaire malgré mes demandes répétées), le cerveau qui réfléchit à des tas de projets, un planning pour les trois semaines à venir un peu surchargé...
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Sautons du coq à light...
Il n’y a pas que le boulot dans la vie. Durant quelques jours, j’ai choisi de travailler beaucoup moins, voire pas du tout, pour gagner exactement la même chose, au risque de menacer les équilibres instables auxquels prétend parvenir le président des neulléens. Gagner pareil, mais surtout pas plus ! Certains désignent cette oisiveté volontaire sous le doux vocable de vacances. Soit… Pour ma part, je me contenterai de ne pas la dénommer et de vous livrer ici quelques réflexions, sans construction particulière, au gré de mes humeurs, forcément vagabondes.