La Lorraine au mois d’août 2007 n’a rien d’estival. La grisaille, la pluie, la fraîcheur vous assènent sur le coin de la figure une tristesse automnale sans équivalent et je ne peux m’empêcher de penser à tous les professionnels du tourisme qui doivent s’arracher les cheveux pour réussir à attirer quelques curieux énergumènes qui pourraient être traversés par l’idée saugrenue de partir à l’assaut d’une région qui, par ailleurs, ne manque pas d’attraits.