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Non non, je ne dors pas !


Contrairement aux apparences, je n'ai pas laissé mon blog en jachère ! Je vous accorderai volontiers que mon assiduité initiale en a pris, comme on dit, un petit coup, mais le coeur y est toujours !
C'est que... pour écrire, même quelques lignes, il est nécessaire selon moi de disposer du minimum de temps vous laissant :
- divaguer mentalement et imaginer le sujet de votre prochaine note ;
- gribouiller (avec ou sans traitement de texte, le stylo fait très bien l'affaire) un vague plan ;
Il faut en outre :
- chasser brutalement ses enfants qui squattent l'ordinateur, certain(e)s d'entre eux s'acharnant eux-mêmes sur leur propre blog ;
- si la susdite chasse est restée sans effet, parvenir à écrire sur son lieu de travail, ce qui, on en conviendra, n'est pas bien du tout.
Enfin, il faut tout bêtement être gagné par une idée dont on pense qu'elle peut faire l'objet d'un texte qui, éventuellement, pourra lui-même susciter l'intérêt de deux ou trois lecteurs (je ne m'appelle pas Tagada, je ne suis pas le Prix Goncourt du Blog !).
Ces bornes posées, je dois vous expliquer que j'ai entrepris la rédaction d'un texte qu'il ne m'est pas possible de vous présenter avant de l'avoir terminé. Gros problème : le chantier est bien plus vaste que je ne l'imaginais au départ et l'évocation de vieux souvenirs dans laquelle je me suis lancée n'en est qu'à son début...
Alors je vous demande de faire preuve d'un peu de patience, je sens bien que tout le monde piaffe, gratte à la porte... raah, vous me mettez la pression et ça m'empêche d'écrire.
Pfff ! Promis, bientôt une livraison dont je vous laisse deviner le contenu à l'aide de trois indices :
1°) Tour de France ;
2°) Genoux écorchés ;
3°) Calcul mental !

Commentaires

  • Euh! Une nouvelle compil ?! Je rigoule...
    Merci pour les liens, je les ai rapatriés dans mon blog pour les étudier, de temps à autre. Promis, promis, sur mes arpents de terre, j'écouterai le monument peu à peu, comme l'on découvre un champagne, progressivement. Une promesse appelle une autre promesse, la petite télégraphiste rouge repartira de la cité des bulles avec un livre "merveilleux" sur le Tour de France, ce sera ma contribution à la préparation de la note, juste pour l'ambiance...

  • Merci pour les compliments, msieur YaKA...cela dit le Goncourt est en mal d'inspiration (si! j'ai une idée: "mon mercredi, ou comment je m'effondre en chougnant parce qu'il y a trop de paires de chaussures différentes mais toutes les mêmes dans les magasins"...

    Une solution anti squat: filer un pot-de-vin au producteur de Clara Sheller, héhé...

    Et pi moi je préfère lire un très bon texte de temps en temps que de m'affliger tous les jours devant ma propre stupidité...

  • Je me permets de te rappeler que tu as d'autres choses à faire que de chougner, et tu ne dois pas oublier qu'une mission de convoyage de la plus haute importance t'a récemment été confiée. Alors, HOP soldat !!! On se redresse, on avance, on arrête de pleurnicher et tout ira bien.
    Si je n'étais pas grossier, je rajouterais même : sacré Bon Dieu de putain de bordel de merde !!! Mais, décemment, je ne peux pas.

  • Euh... Msieur Y a K.A., j'ai bien reçu votre paquet, apporté avec diligence et soin, par une charmante préposée, à qui j'ai ex abrupto proposé l'hospitalité, n'y voyez que mon amour du service public... Par contre, il n'y a pas d'accusé de réception... Que fais-je ? Les premières notes se sont écoulé sous un soleil champenois, que je vous envoie derechef pour vous remercier...
    PS: en tant que lieutenant de réserve, je vais remotiver le petit soldat. Vaisselle, corvées diverses, copies à corriger (pour apprendre), cuisine (pour ne pas perdre les bonnes habitudes)...
    PS du petit soldat: je chougne plus! promis! :-D. Bisous papounet!

  • Bon ben, si le soldat ne chougne plus, c'est déjà un premier résultat ! Merci par ailleurs pour le soleil quoiqu'aujourd'hui, nous étions plus à la recherche de l'ombre, la fraîcheur ne se trouvant plus ici qu'à l'intérieur d'un réfrigérateur désormais célèbre !
    Pour la livraison, je rappelle : cette musique n'est supportée qu'à dose homéopathique par les Tagada, en tous cas pour ce qui concerne la période concernée. Merci de ne pas lui infliger "Om" en boucle !
    Il fait tellement chaud ici que je n'ai pas avancé d'un mot dans l'écriture de ma mystérieuse note, pour laquelle je fournis un indice supplémentaire : ciseaux, colle et carton !
    Enjoy your three days together.

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