Je lis dans le dernier numéro de Jazz Magazine, en page 38 de l’édition du mois d’avril, un article consacré à… Jerry Garcia, leader et inspirateur du mythique Grateful Dead, cette formation de San Francisco qui fut de toutes les folies psychédéliques d’une Amérique qui rêvait d’autre chose pour elle-même que le cauchemar vietnamien et s’oubliait dans un pacifisme libertaire à forte teneur en substances chimiques hallucinogènes.
WHAT ELSE ? - Page 3
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Jerry's jazz
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C'est Bon et ça roule !
Voilà un vrai plaisir de lecture… et de musique. J’avais curieusement laissé passer en son temps la publication de «Rolling Stones, une biographie» de l'écrivain François Bon et je finis par me demander, à la lecture des soixante-dix premières pages, déjà dévorées, de ce que l’on peut sans risque de se tromper qualifier de somme, comment il m’a été possible d’attendre aussi longtemps !
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Mac attaque ou le retour aux sources
Comme au bon vieux temps, il y a bien longtemps... Le plaisir de travailler avec un compagnon agréable et intuitif, fluide et simple d'utilisation. Je garde pour mon usage professionnel de très bonnes relations, quoique houleuses parfois, avec l'autre machine, celle du monde de Bill et je choisis, parce qu'il faut bien, de temps en temps, renouveler son équipement, un élégant Mac Book tout de blanc vêtu et svelte comme un jeune homme !
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Derrière le miroir
Cette scène se passe dans le métro parisien, à la fin du mois de décembre. Selon notre bonne vieille habitude, Madame Maître Chronique et moi-même avons arpenté les rues de la capitale, la truffe en l'air, jusqu'à nous en meurtrir le dos après une vingtaine de kilomètres de déambulation.
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Cordes sensibles (coda)
Quelques jours seulement après la publication sur ce même blog d’un texte consacré au contrebassiste Henri Texier (Cordes sensibles), concomitamment à la mise en ligne d’autres contributions du «Z Band», voici que tombe entre mes mains un précieux DVD consacré au Strada Sextet.
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Cordes sensibles : Henri Texier
Mine de rien, je crois bien que cet homme-là compte énormément dans ma vie. Quand un artiste de premier plan vous accompagne, jour après jour ou presque, depuis une vingtaine d’années, il est normal de penser que sa présence n’est pas sans influence sur le cours de votre propre vie, surtout lorsque l’homme est en parfaite cohérence avec le musicien et, qu’en outre, chance vous a été offerte de le connaître personnellement.
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Setna, c'est plus fort que soi
Surtout, ne pas se tromper d’histoire ni même commettre l’erreur consistant à attendre de ce disque une quelconque réplique à l’éruption incandescente et néanmoins kobaïenne de Magma. Au risque d’être fort déçu.
Parce qu’au vu du pédigrée de Nicolas Candé – leader, compositeur, batteur de Setna né voici quelques années, en évolution depuis 2004 et qui publie aujourd’hui «Cycle I», premier album du groupe – un musicien qui connaît son Christian Vander illustré sur le bout des doigts, on serait facilement tenté de croire que la musique de ce jeune normand et de ses amis va s’inscrire dans la droite lignée d’un groupe bientôt quadragénaire, qui l’a forcément hanté depuis sa jeunesse, ce qu’il sera le premier à reconnaître. -
Volcan en éruption
Après une dizaine d’années durant lesquelles le groupe Magma avait connu une étonnante stabilité dans sa formation – on se souvient des multiples bouleversements des années 70 et de l’incroyable carrousel de musiciens hors normes ayant intégré la secte des hommes en noir tels que Jannick Top ou encore un Didier Lockwood tout juste sorti de l’adolescence – la bande à Christian Vander va devoir une fois de plus se recomposer et entamer, c’est tout le mal qu’on lui souhaite, une nouvelle étape dans sa désormais longue vie (on annonce une célébration de son quarantième anniversaire pour le mois de février 2009 au Casino de Paris).
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Du coq à l'âme
Avant toute chose, j’aimerais vous soumettre un petit problème d’arithmétique : considérant que ce que l’on appelle désormais le Grand Nancy constitue un ensemble peuplé d’un peu plus de 260 000 habitants et supposant que le décile le plus économiquement aisé est en capacité de dépenser la somme raisonnable de 12 € pour assister à un double concert de jazz en périphérie immédiate du centre ville – on est à vingt minutes à pied de la Place Stanislas – il est facile de calculer qu’aucun obstacle financier ne saurait s’opposer à ce que ces 26 000 personnes s’extraient de leur quotidien pour rallier une fort sympathique et néanmoins petite salle de spectacle (la MJC Pichon en l’occurrence) dont la jauge avoisine les 100 places.
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Trois ou quatre décisions
Une fois n’étant pas coutume, je me limiterai à un texte dont la brièveté n’aura d’égal que le sentiment d’urgence qui l’anime. Parce qu’avant de vous parler à nouveau de musique (j’ai sur le feu une excellente recette de Burger au thon chaud) et de boucler le quatrième et ultime épisode de ma saga des Pieds Nickelés électroniques, je dois absolument vous faire part de ma décision...