J'ai plein de choses à vous raconter mais... tellement de trucs à faire en ce moment qu'il est parfois difficile d'opérer des choix. Une chronique du dernier Nancy Jazz Pulsations pour le magazine Citizen Jazz, un article à rédiger dans le cadre d'un projet collectif proposé par l'ami Z, du travail en retard (du vrai, hein, celui qu'on fait pour gagner des sous, même si je n'ai toujours pas réussi à faire doubler mon salaire malgré mes demandes répétées), le cerveau qui réfléchit à des tas de projets, un planning pour les trois semaines à venir un peu surchargé...
WHAT ELSE ? - Page 5
-
Images
-
Sautons du coq à light...
Il n’y a pas que le boulot dans la vie. Durant quelques jours, j’ai choisi de travailler beaucoup moins, voire pas du tout, pour gagner exactement la même chose, au risque de menacer les équilibres instables auxquels prétend parvenir le président des neulléens. Gagner pareil, mais surtout pas plus ! Certains désignent cette oisiveté volontaire sous le doux vocable de vacances. Soit… Pour ma part, je me contenterai de ne pas la dénommer et de vous livrer ici quelques réflexions, sans construction particulière, au gré de mes humeurs, forcément vagabondes.
-
Musiques actuelles
On en revient toujours à la même histoire... Les musiques, celles qui avaient donné leur nom à la première mouture de ce blog, en mars 2005, avant que les facéties du logiciel de reconnaissance vocale utilisé par mon spécialiste du pace maker préféré ne me contraignent, par la force de l'évidence dont il fut question il y a bien longtemps déjà, à adopter le pseudonyme de Maître Chronique qui s'imposait à moi sans m'offrir la possibilité de le refuser. Des musiques si importantes qu'elles en viennent parfois à rythmer mon quotidien selon une cadence presque déraisonnable.
Lire la suite... -
Je suis vivant ! Je suis vivant !
Plus de trois semaines sans écrire une ligne. Enfin, une vraie ligne de blog avec des phrases interminables et des sujets à tiroir, parce que par ailleurs, il m'a beaucoup été donné de coucher noir sur blanc des lettres composant des mots qui font naître des phrases. Mais sans le moindre intérêt en fait.
-
Brouillons de culture
C'est le bazar ! Je voulais parler de tout un tas de choses cette semaine... Je ne suis pas certain néanmoins que ce que j'avais envie de vous raconter soit toujours digne d'intérêt ni très original... Mais vous savez comment sont les choses de l'intérieur : ça bouillonne, ça se bouscule au portillon, on regrette de ne pas avoir sous la main le petit calepin pour griffonner l'idée ou l'évènement. Alors voilà, c'est du vrac que je vous propose...
-
Auscultation cardiaque
Non, rassurez-vous, vous n'aurez pas droit aujourd'hui à la narration de mes relations très suivies avec le corps médical. Je n'irai pas jusqu'à prétendre que je suis le propriétaire d'un grand corps malade, mais il est vrai qu'à l'occasion, il faudra tout de même que je vous en raconte des vertes et des pas mûres, comme on dit, sur ce sujet qui, ayons la franchise de le reconnaître, fait partie intégrante de mon quotidien. Non, rien de tout cela, l'essentiel est ailleurs, comme me le confiait récemment un ami couturier.
-
Comment je me suis économisé (ma vie commerciale)
Rien ne me prédisposait pourtant hier matin à effectuer quelque achat que ce soit, en dehors du strict minimum et utilitaire que représente notre visite hebdomadaire au marché local. Il faut dire que j'avais encore en tête un rendez-vous pris hier soir chez un notaire avec mon frère et ma soeur, une nécessaire rencontre d'où il semblait apparaître que la vie de ma mère – dont nous achevions de régler la succession – se résumait à une seule page et quelques chiffres, une addition, une ou deux soustractions, un total.
-
L'arme à l'oeil
Le décès de ma mère, les démarches à accomplir, les pleurs, l’appartement qu’il faut vider rapidement, les souvenirs qui se bousculent, les vieilles photos qu’on exhume de tous ces tiroirs bondés de souvenirs d’enfance. Cette première période de ma vie qui, petit à petit, semble s’enfoncer dans les brumes de ma mémoire, s’éloignant définitivement de mon propre chemin au point que l’enfant que j’étais m’apparaît comme un autre, presque un étranger.
-
Ils honorent rugby
Ainsi donc, notre beau pays entre dès aujourd'hui dans un long tunnel de 40 jours, dont chacun espère qu'il ne sera pas une traversée du désert. Radios et télévisions parlent d'une seule voix, les propos et analyses souvent inaudibles du futur Secrétaire d'Etat au Sport sont un enchantement pour nos oreilles qui, tout doucement mais non sans efforts répétés, s'acclimatent à sa redoutable diction dictée par l'urgence des vestiaires. Un "coach" - on ne dit plus entraîneur, c'est ringard - qui nous propose de nous habiller tous en bleu.
-
Jerry l'absent
Les journaux commémorent aujourd'hui le dixième anniversaire de la disparition d'une princesse et ce jour très étrange où le monde, comme emporté dans le tourbillon médiatique d'une incompréhensible folie, se mit à célébrer sans la moindre réserve une femme dont la transfiguration en icône me laisse toujours aussi songeur. Cette célébration donna lieu à toutes les exagérations, toutes les hypothèses, jusqu'à cette ridicule théorie du complot, de qui contre quoi, on le saura jamais, mais qui excite comme des puces tout le microscosme journalistique et ses lecteurs endormis.